Le (bio)colmatage est l'une des principales limites de la filtration, qui consiste à séparer une phase solide dispersée d'un fluide. L'accumulation de (bio)particules à la surface de la membrane diminue considérablement l'efficacité de la filtration. Pour résoudre ce problème, nous développons une approche modèle (puces microfluidiques ; colloïdes inertes ou levures vivantes) pour décrire et comprendre les mécanismes sous-jacents qui provoquent, améliorent ou retardent le (bio)colmatage.

Collaborations

• Jeffrey F. Morris (Levich Intitute, CCNY, New York, USA)
• Chris MacMinn (Poromechanics Lab, Oxford University, UK)
• Paul Duru (IMFT, Toulouse, France)