Les chercheurs des équipes MEMS et M3 ont réalisé un capteur nanofluidique capable de discriminer, en une seule étape, des séquences de nucléotides (ARN, ADN) qui ne diffèrent que par une seule paire de bases. La technologie pourrait être appliquée au dosage de biomarqueurs moléculaires de certains cancers. Ces résultats sont publiés dans la revue ACS Sensors, dans le cadre d'Oncodevice.